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 Histoire de Yala

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ÊÇÑíÎ ÇáÊÓÌíá : 13/07/2008
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YALA

Yala possédait un jardin aux portes de la ville ( la Kalaa des Beni Hammad à Msila aujoud’hui ) où il cueillait le resin de sa vigne en cet été de l’an 1061 . le transport se faisait à dos d’ane dans des choiris . Connaissant le chemin , la bete regagnait seule le domicile où l’attendait l’un des fils qui déchargait le fardeau . l’ane revenait au jardin où Yala et ses autre enfants accomplissaient leur besogne . Le va-et-vient se faisait sans encombre . Les jens , habituées à la discipline imposée par les princes de la Kalaa , s’occupaient de leurs affaires sans sans s’immiscer celles des autres . La paix la tranquillité et la probité des habitants régnait dans la capitale et la province . Au cours de ce va-et-vient , l’ane tarda à revenir au jardin . Yala , inquiet , reprit le chemin suivi habituellement par son baudet . A quelques pas de là , il le vit arreté , la charge en déséquilibre . Quelqu’un séétait donc amusé à prendre quelques grappes de resins des choiris . Après avoir rétabli l’équilibre , Yala ramena l’ane à la maison . Mais , à quelques pas des remparts de la ville , il vit des individus értranges descendant de leur chameau et s’appretant à camper là . il copmprit que seuls ces étangers avaient touché à ses fruits , et que cela ne pouvait etre que les Benpu- Hillal dont on attendait l’arrivée d’un moment à l’autre . Le soir quant tous ses jens ètaient rentrées , il tint un conseil de famille pour discuter des événement de la journée et prendre les décisions qui s’imposaient . Après que chacun ait donné son avis , compte tenu de la situation interieur du pays , ( tous étaient au courant de l’invasion Hillalienne et de ces méfaits ) des possibilités de la famille , de la direction à prendre , etc … Yala conclut en ces termes : « l’homme au méhari est arrivé , létranger est sous nos murs , d’un moment à l’autre nous risquons d’etre ses victimes , il faut avant qu’il soit trop tard , quitter ces lieux , et , pour ne point éveiller l’attention des voisins sur notre but , nous allons faire semblant de nous disputer et decider sous le mouvement de la colère de vendre tous nos biens à l’exception de la maison . quant au troupeau il précédera sés demain matin à l’aube et nou attendra à une journée de marche vers le nord … »
Le lendemain tout se deroula comme prévu . le soir , à la nuit tembante , tout était prés pour le départ . Quand tout le monde dormait et que les rus étaient désertes . Yala et ses jens quittèrent la citadelle pour toujous .
Au matin , les voisin ne virent personne sortir de la maison . Un peu plus tard on s’en inquiéta . Puis on força la porte d’entrée . La cour était déserte , les portes des chambres ouvertes , pas une ame qui vive . Quelqu'un entra dans une chambre il vit un grand plat en bois ( el gassà ) au milieu de la pièce . Il revint sur ses pas pour la signaler à ses compagnons . Quand on la souleva on découvrit deux pigeons : l’un après quelques ébats , senvola ; l’autre , les lumes des ailes arrachées se blottit et attendit . on s’aperçut qu’il portait un pli suspendu au cou . On le détacha et on lut ce qui suit : « Celui qui a des ailes se débat et s’envole ; celui qui en est dépourvu , reste cloué au sol à la merci du premier venu » .
On comprit vite les allusion de Yala , et le conseil donné à tous ceux qui desiraient s’éviter les déboires et la ruine dans une guerre prochaine avec les hordes des Benou –Hillal .
Yala se dirigea vers le nord , s’accordant à peine quelques heures de repos , le temps de s’essoufler , de faire boire les betes et de prendre un peu de galette et quelques dattes . Au bout se quelques jours de marche , il aboutit à Chertioua ( territoire actuel des Oulad Dahmane descendants des Benou-Hillal ) . Mais le lieu ne plut pas , point de securité , proche de la rivière infectée de moustiques pint de source à eau fraiche . Il chargea son berger de prospecter un lieu dans la montagne où toute la famille serait à l’abri des rodeurs et des coupeurs de route .
Dans ses randonnées , le berger mettait plusieurs jours pour revenir au campement . Il poussait son troupeau vers toutes les clairières où il avait de l’herbe . Aux heures chaudes il s’abritait à l’ombre des chenes pendant que ses betes se reposaient à l’ombre des buissons . A la meme heure à peu près il voyait souvent son bouc qu’il appelait A’bad revenir , on ne sait d’où la barbiche trempé d’eau . Il le suivi un jour jusqu’à la source où il se désaltérait . Elle sortait au pied d’un immense rocher à l’orée d’une clairière , abondante et fraiche . Le lieu pour un campement lui plut et répondait bien au desir de son maitre . Il rassembla vite son troupeau et rentra à Chertioua . La description des lieux plut à tout le monde . Yala et sa famille décampèrent , et bout de quelques heures de marche à travers l’immense foret de chenes , pins , lentisques , genets , ajoncs et toute sortes de plantes et herbes , nouriture cotidienne des troupeaux de chèvres et brebis de chaque village , ils aboutirent à destination .
Cet emplacement porte toujours le nom de « Louta n’Yala » elle appartient aujoud’hui à Rabi-ou-Seid de Taourirt Yacoub .
C’était une clairière où jaillissait une source à grand débit au bas d’une falaise rocheuse . Elle se trouve aujourd’hui à près de cent mètres plus bas au dessous de la route . Elle alimente la population de Taourirt et arrose leurs jardins . Elle porte le nom de « A’badh » du nom que Yala lui avait donné correspondant à celui de bouc qui l’avait découverte .
L’endroit choisi est un plateau assez spacieux , plus bas que celui de Tansaout , face au Nord . Il domine toute la region , et la vue s’étend jusqu’aux cimes du Djurdjura , aux cretes des Babor les plus lointaines . En bas , à ses pieds sur le flanc , il y avait des « Nezouat » , petits hameaux des autochtones : les Ait Ahmed –ou-Youcef et les Zata ( ou Anzaten ) émergeeant des jardins touffus d’arbres fruitiers et de chenes de la foret qui descendait jusqu’à la rivière de Ghodane .
Le site est merveilleux , un lieu idéal pour vivre loin des tracas des pouvoir public s et des incursions de voleurs et coupeurs de routes .
De la tente , la famille de Yala passa à la maison en pierres . L’hiver est rude avec ses pluies et ses neiges empechant souvent toutes communication avec l’extérieur . Il faut du bois pour se réchauffer et faire cuir e les aliments , il faut des abris pour les animaux domestiques . Yala et ses enfants se mirent à l’ouvrage , et birntot un petit hameau prit naissance au milieu de la clairière .
Installé définitivement Yala songea à consolider sa position . Berbère lettré ayant connu une certaine civilisation à la Kalaa des Beni-Hammad , fortuné avec son troupeau de chèvres et de moutons , il possédait tous les moyens de s’implanter là , de s’intégrer au milieu local et de s’imposer par son savoir et sa culture .
Il chercha donc alliance avec les familles des Ait Ahmed –ou-Youcef et des Zata . Les plus proches étaient ces derniers . Quand ils se rendaient à la foret ils passaient par Tizi n’Zata non loin de Zati proche de la clairière de Yala . Le plus important des hameaux des Zata se trouvait à Anzathen au milieu des oliviers dans un terrain chisteux , ensoleillé , abrité des ventset des tempetes de neige .
A la mort de Yala – son mausolée se trouve entre Taourirt et Guenzet – six de ses fils abandonnèrent cette clairière au climat trop rude pour s’établir au milieu des hameau où residaient probablement leurs beaux-parents .
Etant donné origine , leur connaissance du Coran et de la religion . ils aacquirent vite la prédominance sur les autres , et à leur mort , les villages où il s’étaient établis portèrent leur nom .
Les sept enfants étaient : Cherara , Zerara , Seid , Abderrahmane , Medjber , Yacoub et Younès .

On dit qu’il y avait un huitième enfant mort sans postérité .
L’emplacement actuel de de chaque village n’est celui de cette époque .
Il n’ y avait que des hameau , c’est à dire quelques maisons de la meme famille groupées au meme lieu .

Guenzet , le village actuel , édiffié sur la colline , n’était qus des « Nezouat » c’est à dire des hameau éparpillés dans le bois . Les piliers qui avaient servis à lédification de l’ancienne mosquée , comme celle de Timengache , étaient des troncs d’arbres abattus sur les lieu memes de la construction .
La démolition de ces mosquées a été une grosse perte comme vestige de l’histoure locale .
A Tansaout , autour de la source , il y avait des habitations . C’est là que si Ammar-ou-Moussa séjourna en arrivant de la Kalaa . C’est au bord de ce hameau que les turcs avaient construit lrur dépôt pour recueillir les impots en nature à la période voulu ( El Haouch –ou-Turqui ) .

Ceux d’Aourir –ou-Eulmi et ceux d’ait Hafedh sont plus prets des gens des Beni Yala par leur physique et leur comportement . Ce sont des populations de la meme origine ( les Sedouikich ) mais probablement de branches différentes descendants de Mohamed ben Youcef ou de Seddouk . Toujours est-il qu’ils sont très proches des Beni Ourtilane et des Anzathen des Beni Yala . ils sont comme ceux de la région proche travailleurs et nationalistes . Ils ont fourni au pays des hommes remarquables dont Cheikh Fodij El Ourtilani , Cheikh Mouloud El Hafdi .



Mouloud Gaid « Les Beni-Yala » .
Par Sahli Walid .

sahliwalid@yahoo.fr
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http://www.beniyala.canalblog.com/
 
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